Ses combattants

"Puteaux et la déportation pendant la seconde guerre mondiale : un devoir de l’Histoire" par Alain Dubrana

Comme beaucoup de communes en France, Puteaux à connu pendant la Seconde Guerre mondiale, la déportation de certains de ses habitants. Cette étude tente de recenser les personnes de nationalité française et étrangère présentes sur le territoire français de 1941 à 1945, habitant ou ayant des liens privilégiés avec la ville de Puteaux  et ayant été déportés au cours du second conflit mondial.

Avant propos

La France est une, plurielle et indivisible et l’histoire est le bien de tous. L’histoire de la déportation appartient à tous, faire vivre un passé au présent et préserver les leçons universelles plutôt qu’individuelles ou communautaires, tel est le but de l'historien et de cette étude.
L’histoire n’est pas la mémoire, elle en tient compte mais ne s’y réduit pas, les mémoires sont plurielles, l’histoire n’accepte aucun dogme, elle est une démarche scientifique.
L’auteur de cette étude est parti de la définition suivante de la déportation : déplacement où le déplacement et l’internement de personnes physiques contre leur volonté.

Préambule

L’univers concentrationnaire

Dés 1933,  le nazis ont créé des camps de concentration pour recevoir les opposants politiques au régime mais aussi des droits communs, des malades mentaux, des homosexuels, des juifs et Tsiganes.
Les premiers  sont construits sur le territoire allemand. D’abord celui de Dachau, suivit à partir de1936  de ceux de Sachsenhausen, Buchenwald, Flossemburg, Mauthausen, Neuengamme, Ravensbrück.
A partir de 1940, les camps sont construits dans les territoires conquis principalement en Pologne où des camps d’extermination avec chambres à gaz sont crées pour l’élimination systématique de déportés: Sobidor,Tréblinka, Maidenek, Belzek, Auschwitz-Birkeneau, Chelmo…
Deux catégories de déportés y sont acheminés : les déportés résistants et politiques d’une part, classés Nacht und Nebel( « nuit et brouillard ») et les déportés qualifiés de « raciaux » d’autre part, juifs, tziganes, qui doivent être éliminés.      
Pendant la période 1943 à 1945, création des « petits camps et des Kommandos » Reich.
Les derniers mois, de 1944 à mai 1945,  Les camps de Pologne sont vidés de leurs détenus qui sont transférés dans les camps et les Kommandos se trouvant sur le territoire allemand.

La France dans la seconde guerre mondiale

La défaite et l’armistice de 1940 ont entrainé durant quatre ans, l’occupation d’une partie puis de la totalité du territoire national ; tout au long de ses années noires, la France est divisée sur l’attitude à adopter face à l’occupant nazi : collaborer ou résister.
La Collaboration est engagée par Pétain et le gouvernement de Vichy. Elle revêt plusieurs formes, parmi elles, la mise en place du Service du Travail Obligatoire (STO) qui envoie vers l’Allemagne une main d’œuvre qualifiée. Elle est aussi militaire avec notamment la création, en 1943, de la Milice qui aide les Allemands dans la chasse aux résistants et aux juifs.
Le régime de Vichy mène aussi une politique d’exclusion qui touche en tout premier lieu les juifs frappés par deux statuts discriminatoires en octobre 1940 et juin 1941. Il se rendra également complice de persécutions directes en participant à des rafles, notamment celle du « Vel’d’hiv ».
La France résistante connaît des débuts difficiles, elle est le fait d’une minorité de Français. Le 18 juin 1940, l’appel du général de Gaulle à poursuivre le combat a peu d’auditeurs, mais il marque le début de la France Libre en Angleterre.
Sur le territoire français, également, la Résistance intérieure apparaîit bien faible à ses débuts. Elle ne résulte d’abord que d’initiatives peu nombreuses et dispersées et quelques mouvements apparaissent en 1940-1941, comme « Combat » et « Libération Sud »,  «Front national ». C’est seulement après l’invasion de l’URSS, en juin 1941, que le parti communiste s’engage véritablement dans la Résistance avec  l’organisation « Francs-Tireurs et Partisans français » (FTPF).
Cette Résistance intérieure recrute dans tous les milieux et dans tous les partis.
A partir du 22 juin 1941, jour de l’attaque allemande contre l’URSS, en application des lois d’exceptions et des directives allemandes, des perquisitions et des arrestations sont faites par les forces allemandes et la police française (en zone occupée). Elles concernent les citoyens français et des étrangers vivant sur le territoire. La déportation de ces personnes est autorisée et elle commencera le 6 juillet 1942 pour se terminer en novembre 1944.
Les autorités allemandes créent le camp de Natzweiler-Struthof pour les déportés politiques et le camp de transit de Royallieu à l’entrée de Compiègne pour le départ des convois.
Les juifs français ou étrangers faisant l’objet d’une arrestation sont transférés à Drancy (67 000), Beaume la Rolande, Pithiviers, Rivesaltes,Mérignac, Milles. Le camp de transit pour le départ des convois se trouvait à Drancy.

Documentation:

- Fondation pour la mémoire de la déportation
- Archives de la ville de Puteaux
- Archives départementales des Hauts de Seine
- Différents sites internet traitant de la Déportation
- Fondation pour la mémoire de la Shoa
- Journal officiel

Sommaire

Liste des transports de déportation où se trouvaient des Putéoliens


Sources : Fondation pour la mémoire de la déportation

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Informations sur les transports de déportation où se trouvaient des Putéoliens

Ces convois font partie de la politique répressive et antisémite de l’occupant. Ils déportent, en Allemagne ou en Pologne, des Français mais également des étrangers  arrêtés sur le territoire français. La plupart partent de la gare de l’ Est à Paris.

  • Transport du 7 juillet 1941 des prisons de zone occupée vers celles du Reich
>> Haupois Lucien
Le convoi du 7 juillet 1941 comprend 20 personnes, en particulier.
4 du groupe de résistance « Le coq gaulois ». Ces hommes sont issus des rangs de la Préfecture de Police de Paris arrêtés suite à une trahison. Ils rentrent tous les quatre.
2 ont été arrêtés pour avoir tenté de rejoindre les Forces Françaises Libres. Ils rentrent tous les deux.
Sur les 20, seules deux personnes connaîtront un camp de concentration.

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  • Transport du 6 juillet 1942, convoi des « 45000 », de Compiègne à Auschwitz
>> Archen  Auguste (1907-1942)
>> Bisilion  André (1895-1942)
>> Bourneix  Pierre  Roger (1922-1942)
>> Capliez  Georges  Jean (1920-1942)
>> Chevallier  Raymond  Louis (1894-1942)
>> D’Haese  Jules  (1899-1942)
>> Lechevalier  Louis  Victor (1902-1942)
>> Leroy  Louis  Eugène (1902-1942)
>> Manello  Raphaël (1914-1943)
>> Marotaux  René  Marcel (1922-1942)
>> Marty  Marcel  Ferdinand (1902-1942)
>> Orsatti  Pierre  Hippolyte André (1892-1942)
>> Pairiere  Lucien Camille (1897-1942)
>> Poupleau  Emile André  Pierre Joseph (1907-1942)
>> Rancez  Frédéric (1903- 1942)

Le convoi  des « 45000 » 
Le 6 juillet 1942 à 9h30 partait du camp d’internement de Royallieu à Compiègne un convoi de 1175 déportés. Sa destination : Auschwitz (Pologne) qu’il atteindra le 8 juillet vers 11 h.
L’itinéraire, que suivront de très nombreux convois jusqu’en 1944, passe par Tergnier, Laon pour rejoindre à Chalons sur Marne (Chalons en Champagne) la ligne qui se dirige vers l’est de la France, vers les nouveaux territoires de l’Est européen conquis par les armées allemandes.
Dans des wagons de marchandises,  portes cadenassées, le voyage est épouvantable.
A leur arrivée au camp, chaque déporté reçoit un numéro à 5 chiffres dont la plupart commence par 45 d’où le nom de ce convoi.
Ils sont alors placé sous le régime « Nacht und Nebel » et partagés en deux groupes, un pour Birkenau, l’autre pour Auschwitz 1.

En mars 1943 il n’y avait plus que :
24 survivants à Birkenau,
135 survivants à Auschwitz.
115 seulement reviendront de leur déportation.

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  • Transport du 9 octobre 1942, de Paris gare de l’est à Hinzert
>> Laroche René
Ce convoi comportait 100 hommes et 3 femmes. C’est le dixième transport « NN » pour le sonderlager de Hinzert.
Ce convoi, plus important que les autres, pour cette destination, est dû à la surpopulationdes prisons parisiennes de Fresnes, du Cherche Midi et de la Santé.
Cette surpopulation est causée par une absence de départ au mois de septembre et au démantèlement du groupe « Armée des volontaires ».
A la fin de l’application de la directive « NN », les détenus sont transférés en camp de concentration.

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  • Transport du 19 juillet 1942, de Drancy à Auschwitz
>> Lifchitz Salomon

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  • Transport du 22  juillet 1942, de Drancy à Auschwitz
>> Grandeuz Israël
>> Rachowicki Morduch
>> Ralnowicki Marie

Le transport du 22 juillet se composait de 996 déportés.
En 1945, il  ne restait que 5 survivants.

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  • Transport du 31 juillet 1942, de Pithiviers à Auschwitz
>> Libman Dora
>> Liebman Szlama

Le convoi du 31 juillet se composait de 1049 déportés.
En 1945, il ne restait que 12 survivants.

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  • Transport du 24 août 1942, de Drancy à Auschwitz
>> Libman Albert

Ce transport se composait de 1000 déportés dont 908 furent gazés dès leur arrivée.
En 1945, il restait plus que 3 survivants.

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  • Transport du 18 septembre 1942, de Drancy à Auschwitz
>> Dzenziglsky Maurice

Le transport se composait de 1000 déportés dont 859 furent gazés à l’arrivée.
En 1945, il restait 21 survivants.

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  • Transport du 23 septembre 1942, de Drancy à Auschwitz

>> Schnuerer Carl

1000 déportés composaient ce transport, 475 furent gazés dés leur arrivée.
En 1945, il restait 26 survivants.

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  • Transport du 25 septembre 1942,de Drancy à Auschwitz
>> Aizenman Ichok
>> Schirman Hana, épouse Aizenman
>> Aizenman Esther
>> Lilienfeld Pascal Hersch

Le transport du 25 septembre se composait de1004 déportés dont 873 furent gazés à l’arrivée
A la fin de la guerre,  il ne restait que 15 survivants.

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  • Transport du 28 septembre 1942,de Drancy à Auschwitz

>>Veisman Mendel

Ce convoi  se composait de 904 déportés dont 733 furent gazés à l’arrivée.
En 1945, il ne restait que 18 survivants dont  monsieur Veisman Mendel

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  • Transport du 24 janvier 1943, de Compiègne à Sachsenhausen et Auschwitz

>> Clément  Victor
>> Woestin Jean Hypolite

Le 24 janvier 1943, en gare de Compiègne, un train prend la direction de l’Allemagne emmenant 230 femmes et 1466 hommes. Les hommes prennent la direction de Sachsenhausen et les femmes celle de Auschwitz.
Les femmes en provenance du fort de Romainville sont originaires en partie du Nord de la France et sontpour la moitié  communiste ou proche du Parti.
Les hommes de ce transport sont les premiers déportés vers le camp de Sachsenhausen.
Les principaux motifs d’arrestation sont : appartenance au parti communiste ou au Front National pour la liberté et l’indépendance de la France, passage ou aide au franchissement de la ligne de démarcation.
Après leur arrivée au camp de Sachsenhausen les hommes sont transférés au kommando Heinkel (600), d’autres à Buchenwald, Dachau, Flossemberg, Mauthausen, Neuegamme,Ravensbrück, Natzweiler.

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  • Transport du 13 février 1943, de Drancy à Auschwitz
>> Harstein Léon

Le transport se composait de 1000 déportés dont 689 furent gazés à l’arrivée.
On ne compte que 12 survivants en 1945.

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  • Transport du 2 mars 1943, de Drancy à Auschwitz
>> Karlik Moïse
>>Struck Hermann
>>Schlesinger Selma, épouse Struck

Le transport du 2 mars 1943 se composait de 1000 déportés dont 881 furent gazés à l’arrivée.
En 1945, il ne restait que 6 survivants.

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  • Transport du 4 mars 1943, de Drancy à Maidanek
>> Irky Enoch

Le transport se composait d’environ 950 déportés.
En 1945, il ne restait plus que 3 survivants.

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  • Transport du 25 mars 1943, de Drancy à Sobibor
>> Falinower Genendla
>> Israitel Samuel
>> Ullman Emmanuel
>> Ullman Hélène

Ce convoi comprenait 1008 déportés dont 970 furent gazés à l’arrivée.
En 1945 il ne restait que 5 survivants.

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  • Transport du 16 avril 1943, de Compiègne à Mauthausen
>> Lamotte Auguste
>> Lormail André
Ce convoi part le 16 avril de Compiègne pour arriver le 18 avril 1943 à Mauthausen. Il se compose de 994 hommes, 482 rentreront de déportation.
C’est le second convoi qui part de Compiègne en 1943.
La plupart  des déportés ont été arrêté lors de rafles effectuées par la feldgendarmerie dans la région de Tours, Blois, Le Mans. On trouve aussides personnes des réseaux Alibi, Combat, OCM, Libération Sud
Une personne s’est évadée lors de ce transport.
A leur arrivée à Mauthausen ils sont transférés dans divers kommandos pour creuser des tunnels routiers ou à la construction d’une usine d’oxygène liquide.

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  • Transport du 20 avril 1943, de Compiègne à Mauthausen
>> Plaziat Marcel

Ce convoi de 997 hommes est toujours le fait de la répression des autorités allemandes mais aussi de leur besoin de main d’œuvre.
Pendant le trajet il y eu une dizaine  d’évasions, 517 personnes sont rentréesen 1945.

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  • Transport du 25 juin 1943 de Compiègne à Buchenwald
>> Leguillochet Michel Jacques

Ce transport comprend 999 hommes. Il part de Compiègne le 25 juin 1943 et arrive à Buchenwald le 27. C’est le premier transport important vers Buchenwald.
Une partie importante des déportés est transférée à Dora pour la construction de l’usine du tunnel.
34 évasions se produisent dans la première partie du voyage, avant Chalons sur Marne. En arrivant à Weimar, les déportés doivent rejoindre le camp de Buchenwald à Pied.
397 déportés décèdent.
Le Service du Travail Obligatoire a été mis en place au début 1943 par les autorités françaises.

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  • Transport du 8 juillet 1943, de Paris à Natzweiler
>> Fongarnano Henri

Le 8 juillet 1943 départ du 1er convoi « NN » vers le camp de Natzweiler (Alsace) alors qu’auparavant  ils partaient pour Hinzert.
Les détenus de ce convoi provenaient de Fresnes. Ce convoi comprenait 56 personnes, 27 décèderont.

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  • Transport du 17 septembre 1943, de Compiègne à Buchenwald
>> Poireault André

C’est le troisième grand transport au départ de Compiègne qui arrive àBuchenwald. Ce convoi comprend 934 hommes dont 402 ne reviendront pas.
Parmi eux, de nombreux  réfractaires au service du travail obligatoire. On compte aussi des personnes  prises lors  de la tentative de franchissement de la frontière espagnole. Ce sont pour la plupart des étudiants ou d’anciens militaires.
Suite à des évasions, les prisonniers doivent se déshabiller pour finir le trajet.Lors de l’arrivée à Weimar, on décompte 63 morts.
Une partie des détenus seront ensuite transférés au camp de Dora.

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  • Transport du 11 octobre 1943, de Paris gare de l’est à Neue Bremm
>> Giron Jacques

Ce Transport de 45 hommes provenant de Fresnes(27) et de Romainville (17) et un du Cherche Midi part de la gare de l’Est. Les déportés sont dans un wagon de voyageurs, aux fenêtres grillagées, accroché à un convoi de voyageurs. La plupart des hommes sont des résistants appartenant à des groupes organisés. Le 14 octobre, 33 sont dirigés vers le camp de Mauthausen.
Tous ces hommes sont classés NN (nacht und nebel, nuit et brouillard). Pour des raisons inconnues, cette décision n’a jamais été appliquée à leur arrivée dans les camps.
Dans ce transport se trouvait Georges Loustannau-Lacan fondateur du réseau Alliance.
21 rentreront de déportation.

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  • Transport du 28 Octobre 1943, de Compiègne à Buchenwald
>> Leplatre William

Ce convoi de 933 hommes est composé de résistants, de « refus du service du travail obligatoire », d’étudiants. Pendant le transport, une vingtaine de personnes réussissaient à s’évader.
En 1945, il ne restera plus que 409 personnes embarquées dans ce convoi.

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  • Transport du 8 novembre 1943, de Paris gare de l’est à Neue Bremm
>> Habert André Eugéne

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  • Transport du 14 décembre 1943, de Compiègne à Buchenwald
>> Barillaud Robert

933 hommes quittent Compiègne  le 14 décembre1944. Une partie des déportés appartiennent à la résistance organisée (Alliance, Buckmaster, Centurie, Mitridate, Combat, Libération, Turma vengeance, Armée secrète et franc tireur partisan)
Sur les 821 français, 328 sont envoyés à Dora et à Ellrich. En deux mois, 86 personnes mourront.

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  • Transport du 17 janvier 1944, de Compiègne à Buchenwald
>> Carle Roger

Le transport comprend 1943 hommes dont 437 sont des étrangers. Seuls, 935 rentreront.
A leur arrivée à Buchenwald, ils sont mis en quarantaine au « petit camp » et ensuite transférés à Flossenburg, Dora et Ellrich.

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  • Transport du 22 janvier 1944, de Compiègne à Buchenwald
>> Barois Pierre

Ce transport comprend 2005 hommes ; 990 reviendront Le trajet est marqué par 14 évasions.
Ce convoi comprend un futur Compagnon de la libération, le colonel Frédéric-Henri Manhés , Christian Pineau, Pierre Arrighi fondateur de « Ceux de la libération » et le talentueux dessinateur de Chalons sur Marne Guy Boissot.
Un très grand nombre d’entre eux seront transférés à Dora et Ellrich.

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  • Transport du 27 janvier 1944, de Compiègne Buchenwald
>> Gontier Robert

Le convoi du 27 janvier se composait de 1583 hommes arrêtés pour la plupart dans les derniers mois. Les 34 personnes du réseau Alliance faisant partie de ce transfert ont tous été exécutés à Gaggenau.

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  • Transport du 6 avril 1944, de Compiègne Mauthausen
>> François Stéphane
>> Garraud Léonard
>> Hemery  Jean Maurice

Les 1489 hommes de ce convoi quittent Compiègne le 6 avril 1944 dans un train composé où ils sont entassés dans une douzaine de wagons à bestiaux dont toutes les ouvertures sont obturées. Le
voyage s’effectue sans nourriture. Suite à des évasions, tous les déportés sont dénudés et ne retrouveront quelques vêtements qu’à leur arrivée le 8 en gare de Mauthausen.
Plus de la moitié des déportés sont affectés au kommando Melk et environ 300 à celui de Gusen.

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  • Transport du 27 avril 1944, de Compiègne à Auschwitz
>> Gresser Albert
>> Lecoeur Jacques

Ce convoi comprend 1670 hommes, seul 800 d’entre eux rentreront.
Entassés à 100 par wagons, c’est le 3ème  convoi de non juifs qui va directement à Auschwitz. Le trajet dure 4 jours et 3 nuits.
En arrivant le 30 avril ils sont dans un premier temps parqués à Birkenau, tatoués, et transférés au camp Bilb. Ils sont ensuite transférés à Buchenwald et Flossenburg.
Ce convoi prend le nom de « convoi des tatoués ».

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  • Transport du 12 mai 1944, de Compiègne à Buchenwald
>> Lebouc Maurice
>> Deffry  Georges Joseph
>> Gremont  Camille Jules

Les 2073 hommes de ce convoi sont embarqués dans des wagons à bestiaux. Le train part de Compiègne le 12 mai 1944 et arrive le 14 à Buchenwald. Une grande partie de ces hommes sont dirigés vers le camp de Dora et le kommando d’Ellrich où ils sont affectés à des  travaux de terrassement.
50% des personnes déportées dans ce convoi le sont pour faits de résistance.

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  • Transport du 13 mai 1944, de Paris gare de l’est à Ravensbruck
>> Desirat Marcelle
>> Duchassin/Fourel Lucie

Ce convoi comprend 567 femmes dont 428 rentreront.
Partant de la gare de l’Est, il est, contrairement aux convois partant de ce lieu, composé de wagons à bestiaux.
Ces femmes proviennent du fort de Romaiville. Beaucoup sont proches du parti communiste, ou issues de la résistance.
Dés leur arrivée à Ravensbruck, elles sont transférées dans des Kommandos de travail.

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  • Transport du 30 mai 1944, de Paris à Neue Brem
>> Nedelec Marie

Ce convoi comprend 59 femmes dont 57 rentreront. Elles sont transportées dans un wagon accroché à un train régulier.
La destination de Neue Brem n’est que provisoire. Elles sont transférées  ensuite à  Ravensbruck et immatriculées. Elles vont définitivement à Leipzig dans un Kommando de Buchenwald.
Elles étaient accusées d’être communistes  ou « d ‘appartenance au front national ».

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  • Transport du 4 juin 1944, de Compiègne à Neue Bremm
>>Chercuitte Lucien

C’est un des plus importants convois au départ de France. Parti le 4 juin, il arrive le 7 à destination. Il comprend 2064 hommes dont 23 s’évaderont pendant le voyage (entre Châlons sur Marne et Vitry le François on dénombra 21 évasions), 968 décèderont en déportation.
Avant le débarquement Alliés, les convois se multiplient, résultat de très nombreuses arrestations et de besoin toujours plus important  de main d’œuvre pour l’industrie du Reich.
Le train part dans une période où les bombardements s’intensifient.
Claude Bauchet fondateur du mouvement de libération nationale, membre du comité directeur de « Combat », futur compagnon de la libération fait partie de ce convoi.
Dés le 6 juillet, 800 déportés sont dirigés vers le camp de Sachsen Hausen et reçoivent leur matricule.
Nombreux sont ceux qui mourront lors de l’évacuation des camps, en particulier sur le « Cap Arcona » dans la baie de Lübeck.

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  • Transport du 17 juin 1944, de Compiégne à Buchenwald
>> Bykowski Charles

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  • Transport du 2 juillet 1944, de Compiègne à Dachau
>> Thedie  Maurice

Ce « train de la mort » part le 2 juillet 1944 de la gare de Compiègne. Il porte le n° 7909. Dans chaque wagon sont entassés une centaine d’hommes. Suite à de nombreux sabotages le train roule
lentement. Les morts se succèdent et dans certains wagons, poussés par la folie, les hommes s’entretuent. Le 3, en gare de Nouvéant (gare frontière), les allemands décomptent 450 cadavres.
Le train arrive en gare de Dachau le 5 juillet.
Ce train s’inscrit dans le contexte particulier de la libération de la France, il comporte une majorité de résistants.

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  • Transport du 7 juillet 1944, de Paris gare de Lyon-Bercy à Natzweiler
>> Girard Maurice

Contrairement aux autres convois classés « NN » à destination de Natzweiler, ce convoi part de Paris gare de Lyon-Bercy. Il se compose de 61 hommes dont 31 décèderont dans les camps.
Le voyage s’effectue dans des wagons de 3ème classe transformés en cellules dans lesquelles les détenus sont menottés. Les personnes de ce convoi viennent des prisons de  Fresnes et du Cherche Midi.
En septembre, les déportés sont transférés vers les camps de Dachau, Neuegamme et Flossenbûrg.

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  • Transport du 15 juillet 1944, de Compiègne à Neuegamme
>> Delors Pierre

Ce convoi comprend 1202 prisonniers et 326 « personnalités otages ». Parmi les « personnalités otages », on retrouve surtout d’anciens hommes politiques. En arrivant à destination, ils sont traités
d’ une manière beaucoup plus « confortable » que les autres détenus puisque 313 d’entre eux  reviendront.
Dans ce convoi, on trouve surtout une majorité de résistants et de personnes arrêtés lors de rafles massives.
La plus part sont affectés dans différents kommandos, en particulier à la construction d’un abri pour sous-marins et au déblaiement de Hambourg.
Un mois après le débarquement des alliés, les déportations se poursuivent, vidant progressivement les centres majeurs de détention.

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  • Transport du 28 juillet 1944, de Compiègne à Neuegamme
>> Hilaire Robert
>> Vallée André Auguste Pierre
>> Menou  Emile Lucien

Le convoi comprenant 1652 hommes part dans la soirée du 28 juillet 1944. Les déportés passent 3 nuits dans des wagons à bestiaux avant d’arriver à Neuegamme. Le convoi est stoppé plusieurs fois par les bombardements et les tentatives d’évasion.
La plupart des déportés ont été arrêtés les quatre mois avant.

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  • Transport du 31 juillet 1944, de Drancy à Auschwitz
>> Yeruchalmi Behor Moïse

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  • Transport du 4 août 1944, de Paris gare de l’est à Neue Bremm
>> Ravon Marthe Marie Henriette, épouse Laucher

Ce convoi de 62 femmes est constitué en majorité de résistantes. A la Libération, il ne restait que 47 personnes (Journal officiel du 8 décembre 1993).

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  • Transport du 9 août 1944, de Bordeaux à Dachau
>> Laignel Albert

Du fait de son parcours chaotique, il a été surnommé « le train fantôme ». Il est composé de  64 femmes et 548 hommes représentant 23 nationalités. Pendant ce transport, il y eut de nombreuses évasions (1 femme et 61 hommes).
Ce convoi formé le 3 juillet 1944 à Toulouse  part pour Bordeaux puis Paris, mais doit faire demi-tour. Il reste à Bordeaux jusqu’au 9 puis repart pour Toulouse et l’Allemagne. Il est à Avignon le 18 août et le 24 août à Lyon. Il arrive à Dachau, sa destination finale, le 28 août.
Les femmes sont transférées à Ravensbruck puis affectées à Orianenbourg et dans différents centres de travail.
Les hommes sont dirigés vers Auschwitz et Buchenwald et 168 vers Mauthausen puis dans les centres de Gusen, Ebensé et Melk.

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  • Transport du 15 août 1944, de Paris gare de Pantin à Buchenwald et Ravensbrück
>> Cotillard Raymond
>> Mansion  Albert
>> Bergheaud  Robert
>> Stainq  Clément
>> Sembel  Victor
>> Ghelfi  Emile
>> Flamand Jacques
>> Roffi Jean

Le 15 août 1944, 546 femmes et 1654 hommes partent en Allemagne. C’est le transport qui emmène le plus grand nombre de déportés.
Initialement prévu  pour le 12, il a été retardé par une grève des cheminots parisiens entamée le 10. Par ailleurs, les installations de la gare de l’Est ayant été détruites par la Résistance dans la nuit du 12 au 13, les autorités allemandes décident de former le convoi  en gare de Pantin.
Les personnes déportées proviennent des lieux d’internement de la région parisienne (Compiègne, Romainville, Fresnes).
L’intervention de la Croix Rouge permet la libération de 32 personnes.
Le train part dans la soirée du 15. Le lendemain, il est arrêté avant la gare de Nanteuil-Saacy, le pont ferroviaire enjambant la Marne étant détruit. Les déportés changent de train (pendant ce transbordement plusieurs évasions ont lieu).
Le 17 août, la Résistance tente  de stopper le train en gare de Dormans puis en gare de Vigny, pendant qu’à Paris le consul de Suède signe un texte avec les autorités allemandes plaçant les prisonniers et les déportés sous la protection de la Croix Rouge qui essaie en vain d’arrêter le convoi à Bar le Duc, Lérouville, Avricourt.
Les hommes arrivent le 20 août à Buchenwald et les femmes le 21 à Fürstenberg avant d’être conduites à Ravensbrück.
La plupart des déportés ont été arrêtés au 2ème trimestre. Parmi eux, on trouve des participants aux réseaux Vengeances, Brutus et Darius. Pour la première fois, 168 aviateurs alliés ne sont pas traités comme des prisonniers mais, déportés.
A leur arrivée à Buchenwald une partie des hommes est transférée à Dora puis sur Ellrich.

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  • Transport du 18 août 1944, de Compiègne Rethondes à Buchenwald
>> Chassagne Jean

C’est le dernier transport de déportés venus du camp de Royallieu, la majorité des déportés ont été arrêtés dans les 3 derniers mois.
Il est composé de 1249 hommes.
Il ne restait plus que 653 personnes en 1945.

Comme pour le convoi du 15 août, il faut noter la tentative infructueuse du consul de Suède et de la Croix Rouge d’arrêter le départ du convoi.

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  • Transport du 26 août 1944, de Belfort à Natzweiller
>> De Pillot de Coligny Charles

C’est le premier convoi important qui part de Belfort car la libération de la France est commencée et les infrastructures de la région parisienne ne sont plus utilisables. Les camps de Royallieu et de Romainville sont remplacés par le fort Hatry de Belfort.

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  • Transports de novembre 1944, de zones occupées vers le Reich
>> Meyer Albert

En novembre 1944, l’évacuation du territoire français par les allemands se poursuit mais s’accompagne toujours de déportations.
Le transport de Meyer Albert comporte 6 femmes et 16 hommes.

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Liste des déportés ayant une relation avec Puteaux

A B C D F G H I K L M N O P R S T U V W Y

A
Aizenman Esther
Aizenman Ichok
Archen  Auguste 

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B
Barillaud Robert
Barrois Pierre
Bergheaud Robert
Besnard Henri
Bion René
Bisilion André 
Bourneix Pierre Roger 
Brument Pierre
Bykowski Charles

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C
Capliez Georges Jean 
Carle Roger
Chartier Henri
Chassagne Jean
Chercuitte Lucien
Chevallier Raymond Louis 
Clément Victor
Cotillard Raymond

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D
De Pillot de Coligny Charles
Deffry GeorgesJoseph
Delor Pierre
Delys Roger
Desirat Marcelle
D'Haese Jules
Duchassin / Fourel Lucie
Ducret Georges
Dzenziglsky Maurice

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F
Falinower Genendla
Flamand Jacques
Fohlen Marie Anne épouse Lévine
Fongarnano Henri
François Stéphane

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G
Garraud Léonard
Ghelfi  Emile
Girard Maurice
Giron Jacques
Gontier Robert
Grandens Gertrude, épouse Kott
Grandeuz Israël
Gremont Camille Jules
Gresser Albert
Guy Simonne

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H
Haber André
Harstein Léon
Haupois Lucien
Hemery Jean Maurice

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I
Irky Enoch
Israitel Samuel

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K
Karlik Moïse
Kimelblatt Berthe, épouse Harstein
Kosierow Maurice
Kott Dagobert
Kott Henri

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L
Laignel Albert
Lamotte Auguste
Langel André
Laroche René
Lebouc Maurice
Lechevalier Louis Victor 
Lecoeur Jacques
Leguillochet Michel Jacques
Lepine Adolphe
Leplatre William
Leroy Louis Eugène 
Libman albert
Libman Dora
Liebman Szlama
Lifchitz Salomon
Lilienfeld Pascal Hersch
Lormail André

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M
Makel René
Manello Raphaël 
Mansion Albert
Marotaux René Marcel 
Marty Marcel Ferdinand 
Menou Emile Lucien
Meyer Albert
Minerault Emile Raymond

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N
Nedelec Marie

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O
Orsatti Pierre Hippolyte André

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P
Pairiere Lucien Camille 
Piriou René
Plault Amant Henri
Plaziat Marcel
Poireault André
Porot Henri
Poupleau Emile André Pierre

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R
Rachowicki Morduch
Ralnowicki Marie
Rancez Frédéric  
Ravon Marthe Marie Henriette, épouse Laucher
Roffi Jean

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S
Schirman Hana, épouse Aizenman
Schlesinger Selma, épouse Struck
Schnuerer Carl
Sembel Victor
Stainq Clément
Struck Hermann

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T
Thedie  Maurice
Thevenot Josette
Thonnelier Jean

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U

Ullman Emmanuel
Ullman Hélène

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V
Vallée  André Auguste Pierre
Veisman Mendel

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W
Woestin Jean Hyppolite

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Y
Yeruchalmi Behor Moïse

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Biographie succincte des déportés ayant une relation avec Puteaux

Aizenman Esther

Elle est née en 1931 à Paris et habitait chez ses parents 8 rue Boildieu à Puteaux.
Arrêtée puis internée au camp de Drancy, elle part pour Auschwitz le 25 septembre 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Aizenman Ichok

Né en 1898 à Beograd en Roumanie, il habitait 8 rue Boildieu à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 25 septembre 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Archen Auguste

Photo Archen Auguste








Mort en déportation Né le 18 juillet 1907 à Puteaux.
Il travaille comme cantonnier pour la mairie de Nanterre.
« Ayant refusé de répondre positivement à la lettre comminatoire que le président de la délégation spéciale (qui remplaçait la municipalité communiste déchue) lui avait envoyé le 25 avril 1940, a été révoqué le 24 mai 1940 puis arrêté, inculpé de propagande communiste par le tribunal de première instance de la Seine et interné le 28 mai à la prison de Fresne ».
Transféré au camp  Royallieu de Compiègne, il est intégré au convoi qui part le 6 juillet 1942 pour Auschwitz (Pologne).
Le 8 juillet à son arrivée au camp, il reçoit le matricule 45177. Il lui est attribué le triangle vert (criminel professionnel), erreur rectifiée le 13 juillet par l’attribution du triangle rouge (prisonnier politique).
Il décède le 19 août 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 »

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 

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Barillaud Robert

Il est né à Puteaux le 19 septembre 1924.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne. Il part le 14 décembre pour Buchenwald où il arrive le 16.
Il reçoit le matricule 38408 et est transféré à Dora puis à Ellrich où il décède le28 octobre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Barois Pierre

Il est né à Puteaux le 5 avril 1920.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il fait partie du convoi qui part le 22 janvier 1944 pour Buchenwald où il reçoit le matricule 42270.
Il est transféré au camp de Mauthausen puis à celui de Gusen.
Il est libéré.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Bergheaud Robert

Il est né à Paris (13ème) le 27 août 1919.
Il habitait 71 rue Arago à Puteaux.
Membre de la résistance PTT, il a été arrêté sur dénonciation le 12 juin 1944 gare Saint Lazare à Paris par la gestapo.
Il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944. Il arrive à Buchenwald le 20 août et reçoit le matricule 77087.
Transféré à Dora puis Ellrich, il décède le 10 février 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Besnard Henri

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

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Bion René

Mort en déportation.

ll est né à Puteaux le 15 janvier 1918.
Il habitait 16 rue Marcellin Berthelot à Puteaux.
Il est arrêté sur le territoire du reich et interné à Flossembourg où il reçoit le matricule 32492.
Sa date de décès est inconnue.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Bisilion André

Mort en déportation. Il est né le 8 décembre 1895 à Toutry (Côte d’Or).
Il habitait 16 rue Hoche à Puteaux et était marié à Germaine Helluin.
Arrêté, il fut transféré au camp  Royallieu de Compiègne. Il partit le 6 juillet 1942 pour Auschwitz (Pologne).
Le 8 juillet, à son arrivée au camp, il reçoit  le matricule 45251.
Il décède le 15 septembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet »
- Archives municipales de Puteaux

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Bourneix Pierre Roger

Photo Bourneix Pierre Roger








Mort en déportation. Il est né le 16 juillet 1922 à Paris (8ème).
Il habitait 29 rue Cartault à Puteaux.
Arrêté le 9 novembre 1940, il est transféré au camp  Royallieu à Compiègne. Il part le 6 juillet 1942 pour Auschwitz où il reçoit le matricule 45290.
Il décède le 19 septembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Brument Pierre

Il est né le 10 avril 1924 à Puteaux.
Arrêté sur le territoire du Reich, il est transféré et interné à Buchenwald ou il reçoit le matricule 87433.
Il rentre en avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Bykowski Charles

Il est né le 10 novembre 1912 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu de Compiègne d’où il part le 27 juin pour Buchenwald. Il arrive le 29. Il reçoit le matricule 44576.
Il est libéré le 11 avril 1945

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Capliez Georges Jean

Photo Capliez Georges Jean






Mort pour la France.
Mort en déportation.

Il est né le 1er décembre 1920 à Paris 12ème.
Il était célibataire et habitait 4 rue Cartault à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne) et reçoit le matricule 45327.
Il décède le 20 août 1942,il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Carle Roger

Mort en déportation.

Il est né le 22 mars 1920 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiégne.
Il part  le 17 juin 1944 pour Buchenwald où il reçoit le matricule 40929.
Il est transféré à Dora puis à Ellrich où il décède  le 16 décembre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Journal officiel du 7 août 2007

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Chartier Henri

Mort en déportation
Il est né le 28 juillet 1903 à Saulieu (Côte d’Or).
Marié (2 enfants) il habitait à Puteaux 12 rue Auguste Blanche.
Mobilisé en 1939 il fut fait prisonnier de guerre. Arrêté sur le territoire du Reich, il fut interné au camp de Buchenwald avec le matricule 98396.
Il décède en avril 1945 lors de l’évacuation du camp.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet »
- Archives municipales de Puteaux

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Chassagne Jean

Né à Puteaux le 4 septembre 1923.
Il est arrêté et transféré au camp de Royallieu de Compiègne. Il fait partie du transport qui quitte la gare de Rethondes le 18 août 1944 pour arriver à Buchenwald le 22. Il reçoit le matricule  77746.
Il est affecté à différents kommandos et est libéré le 11 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet »

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Chercuitte Lucien

Il est né le 15 décembre 1897 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne d’où il part le 4 juin 1944 pour le camp de Neuegamme où il arrive le 7.
Il reçoit le matricule 34539.
Il décède à Neuegamme le 15 décembre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Chevallier Raymond Louis

Photo Chevallier Raymond Louis




Mort pour la France.
Mort en déportation.

Il est né le 17 août 1894 à Hébécourt (Eure).
Marié à Marguerite Augustine Hyacinthe Tournant, il habitait
92 rue de Neuilly à Puteaux.
Arrêté il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du le 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45368.
Il décède à Birkenau le 15 septembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet »
- Archives municipales de Puteaux

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Clément  Victor

Il est né à Paris (8ème) le 16 mars 1889.
Il habitait 45 rue du Chemin vert à Puteaux.
Il a été arrêté à son domicile le 9 novembre 1940.
Transféré au camp de Royallieu de Compiègne il fait partie du transport qui part le 24 janvier 1943 pour le camp de Sachsenhausen où il arrive le 25.
Il reçoit le matricule 58774.
Il est ensuite transféré au kommando Heinkel et décède à Dachau en avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives de Puteaux

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Cotillard Raymond Louis Mort pour la France.
Mort en déportation. Il est né à Puteaux le 15 avril 1925.
Célibataire, il habitait 76 rue Victor Hugo à Puteaux.
Arrêté, il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944. Il arrive à Buchenwald le 20 août et reçoit le matricule 77696.
Transféré à Dora puis à Ellrich, il décède le 26 février 1945.
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet »
- Archives municipales de Puteaux
- Journal officiel du 18 novembre 1987
- Dossier état civil des anciens combattants n° 3318  

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De Pillot de Coligny Charles

Né le 20 décembre 1904 à Puteaux.
Il est arrêté et interné au fort Hatry à Belfort.
Il part pour Natzweiller le 26 août 1944.
Il reçoit le matricule 23800.
Il est dirigé vers Dachau car très vite le camp de Natzweiller est évacué.
Il est libéré le 29 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"

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Deffry Georges Joseph

Mort pour la France.

Il est né le 5 juin 1900 à Nancy (Meurthe et Moselle).
Veuf de Yvonne Marie Louise Duchêne, il habitait  3 rue Agathe à Puteaux.
Arrêté le 6 juin 1941, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne et part le 12 mai 1944 pour Buchenwald où il arrive le 14.
Il reçoit le matricule 51501 et est transféré à Dora où il meurt le 8 juin 1944.
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux

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Delor Pierre Il est né le 31 janvier 1923 à Puteaux.Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne.
Il part le 15 juillet 1944 pour le Camp de Neuegamme où il arrive le 18.
Il reçoit le matricule 37569.
Il est libéré le 2 mai 1945 à Wöbbelin.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Delys Roger

Il est né à Puteaux le 19 décembre 1920.
Il est arrêté sur le territoire du reich et interné à Neuegamme où il reçoit le matricule 79860.
Il est libéré.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"

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Desirat Marcelle

Elle est née le 8 mars 1910 à Puteaux.

Arrêté, elle est envoyée au camp de Ravensbruk par le convoi qui quitte la gare de l’est le 13 mai 1944.
A son arrivée, elle reçoit le matricule 39128.
Elle est transférée ensuite au camp de Bergen Belsen.
Elle est libérée le 15 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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D’Haese Jules

Mort en déportation.

Il est né le 11 septembre 1899 à Lille (Nord).
Il habitait 35 rue Voltaire à Puteaux.
Arrêté place du marché à Puteaux le 3 août 1941 il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du  6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).Il reçoit le matricule 45475.
Il décède le 21 septembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ». Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre "Mille otages pour Auschwitz"
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux

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Duchassin/Fourel Lucie

Elle est née le 18 décembre 1916 à Puteaux.

Arrêté, elle est envoyée au camp de Ravensbruk par le convoi qui quitte la gare de l’est le 13 mai 1944. A son arrivée, elle reçoit le matricule 38840.
Elle est libérée.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Ducret Georges

Mort en déportation.

Il est né à Puteaux le 13 juillet 1925.
Il est arrêté sur le territoire du reich  et interné au camp de Dora où il reçoit le matricule 44617.

Il décède le 29 mars 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"

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Dzenziglsky Maurice

Né en 1912 à Puteaux, il habitait 39 rue Jean Jaurès à Puteaux et exerçait la profession de  manutentionnaire.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 18 septembre 1944.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Falinower Genendla

Né en 1886 en Pologne, il habitait 14 rue Auguste Blanqui à Puteaux et exerçait la profession de finisseur. Arrêté puis interné au camp de Drancy il part pour Solibor le 25 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Flamand Jacques

Il est né à Puteaux le 6 juin 1924.
Il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944. il arrive à Buchenwald le 20 et reçoit le matricule 77869. Il rejoint le camp de Dora.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"

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Fohlen Marie Anne, épouse Lévine

Mort en déportation. Elle est née à Puteaux le 22 octobre 1886.
Elle est décédée le 25 janvier 1944 à Auschwitz. Sources :
- Journal Officiel du 19 mars 1995
- Sites "internet"

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Fongarnano Henri

Il est né à Puteaux le 21 juin 1909.
Arrêté, classé « NN » il est transféré le 8 juillet 1943 au camp de Natzweiler (Alsace). Il y reçoit le matricule 4347.
Il est transféré à Dachau où il décède avant la libération du camp (la date n’est pas connue).

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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François Stéphane

Il est né le 9 mars 1898 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne. Il part pour Mauthausen le 6 avril 1944 et il arrive le 8. Il reçoit le matricule 62328.
Il est transféré à Gusen où il décède le 18 janvier 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Retour sommaire Girard Maurice

Il est né le 9 octobre 1925 à Puteaux.
Arrêté, il est classé »NN » et envoyé le 7 juillet 1944 au camp de Natzweiler où il arrive le 10.
Il reçoit le matricule 19377 avant d’être transféré à Dachau.
On ne sait pas s’il est décèdé ou s’il a été libéré.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Retour sommaire Garraud Léonard Mort pour la France.
Mort en déportation. Il est né en 1897 à Javerdat (Haute Vienne).
Fonctionnaire des postes, télégraphe, téléphone, il était marié à Marguerite Lévêque et habitait 9 rue Cartault à Puteaux.
Arrêté, transféré au camp de Royallieu à Compiègne il part le 6 avril 1944 pour Mauthausen où il arrive
le 8.
Il reçoit le matricule 62419 et est transféré au kommando Melk où il décède le 8 juillet 1944.

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux

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Ghelfi Emile Virgile Dominique

Mort en déportation.

Il est né à Paris (13iéme) le 30 juillet 1905.
Il était secrétaire du syndicat cgt aux usines automobiles unic de Puteaux.
En 1941, il entre dans la résistance au sein du mouvement Vengeance où sa femme Renée ne tarde pas à le rejoindre.
Menacé par la répression des lois du gouvernement de Vichy, il déménage et se réfugie à Orgerus.
Il crée un groupe qui comportait 7 personnes en 1942 et plus de 30 e 1944.
Emile Ghelfi dit « le hibou » était chef de groupe. Dénoncé et arrêté par la gestapo le 5 août 1944 il fut, avec 12 camarades, déporté en Allemagne.
Une stèle est élevée à Bazeinville (78).
Il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944. Il arrive à Buchenwald le 20 août et reçoit le matricule 77281.
Transféré à Dora il décède le 27 septembre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Journal officiel du 23 juin 1993
- ONAC 78

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Gontier Robert

Il est né le 28 février 1915 à Courbevoie.
Il habitait chez son père, 22 avenue du président Wilson à Puteaux.
Prisonnier de guerre au stalag 13 sous le n° 98239, il s’évade le 19 octobre 1941. Il est alors démobilisé à Bourg.
Lieutenant DGER « France combattante », il faisait partie du réseau alliance. Il était dans un maquis de la région de Lyon.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne d’où il part le 27 février 1944 pour Buchenwald.
Il reçoit le matricule 44241.
Il est transféré  au camp de Gaggenau où il est exécuté le 30 novembre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux

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Giron Jacques

Il est né le 24 juin 1921 à Montereau (Seine et Marne).
Arrêté, il part le 11 octobre 1943 de Paris (gare de l’est) vers le camp de Neue Bremm ou il reçoit le matricule 37769.
Transféré au camp de Mauthausen (Autriche) il décède le 30 septembre 1944.
Pour des raisons inconnues son acte de décès se trouve à Montargis et a été transcrit à Montereau.

Son nom figure sur le livre des morts au mémorial de Mauthausen.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Mémorial des morts de Mauthensen

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Grandens Gertrude, épouse Kott

Mort en déportation.

Elle est née le 27 avril 1904 à Kalisz (Russie).
Elle habitait 126 rue Jean Jaurès à Puteaux.
Arrêtée le 26 août 1942 elle est déportée au camp d’Auschwitz (Pologne) où elle décède le 9 septembre 1942.

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Journal officiel du 19 mars 1995
- Archives municipales de Puteaux

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Grandeuz Israël

Il habitait 24 rue Mars et Roty à Puteaux.
Sans profession, il est né en 1882 à Strzalkow.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 22 juillet 1942.

Sources :
- mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Gremont  Camille Jules

Mort en déportation.
Mort pour la France.

Il est né le 26 février 1903 à Auvers le Hamon (Sarthe).
Marié à Alice Jeanne Quebre il habitait 33 rue Marius Jacotot à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu de Compiègne et part le 12 mai 1944 pour Buchenwald où il arrive le 14.
Il reçoit le matricule 51137.
Il décède le 11 juin1944.

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Journal Officiel du 3 février 1994

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Gresser Albert

Il est né le 3 septembre 1915 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne d’où il part le 27 avril 1944 pour Auschwitz où il reçoit le matricule 185693.
Il est ensuite transféré au camp de Buchenwald puis à celui de Flossenberg.
Il est libéré par les alliés.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Guy Simonne

Elle est née à Puteaux le 8 octobre 1923.
Elle est arrêtée sur le territoire du reich et internée au camp de Ravensbruck où elle reçoit le matricule 19497.
Elle est libérée.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites Internet

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Habert André Eugéne

Mort pour la France.

Il est né à Romorantin le 7 janvier1897.
Marié, il habitait 15 rue Collin à Puteaux.
Sous lieutenant D G E R , chargé de mission de 3iéme classe, il est arrêté.
Transféré au camp de Royallieu de Compiègne, Il part le 8 novembre 1943 pour le camp de Neue Gamme. Il est transféré à  Buchenwald où il reçoit le matricule 39946.
Il décède le 14 février 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Archives municipales de Puteaux

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Harstein Léon

Né en 1890 à Paris, il habitait 6 rue Raspail à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy,il part pour Auschwitz le 13 février 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine
- Archives municipales de Puteaux

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Haupois Lucien

Il est né le 12 février 1919 à Puteaux.
Arrêté et interné il est déporté le 7 juillet 1941.
Il est libéré à Dachau le 29 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Hemery  Jean Maurice

Mort en déportation.

Il est né le 28 mars 1900 à Bar le Duc (Meuse).
Il habitait 88 rue de la République à Puteaux.
Arrêté, transféré au camp de Royallieu à Compiègne il part le 6 avril 1944 pour Mauthausen ou il arrive le 8.
Il reçoit le matricule 62563 et est transféré au kommando Melk où il décède le 24 avril 1945.

Sources :
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Journal Officiel du 20 juin 1994

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Hilaire Robert

De nationalité belge, il est né le 10 mai 1897 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Compiègne d’où il part le 28 juillet 1944 pour le camp de Neuegamme où il arrive le 31 juillet.
Il reçoit le matricule 39591.
Il décède à Hambourg le 2 décembre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Irsky Enoch

Mort en déportation.

Né en 1881 à Alaki (Russie), il habitait 59 rue Roque de Fillol à Puteaux et exerçait la profession de tourneur.
Il est arrêté à son domicile le 10 février 1943 puis interné au camp de Drancy.
Il part pour Maidanek le 4 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine
- Archives municipales de Puteaux
- Journal Officiel 1992 page 8021 à 8024

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Israitel Samuel
Né en 1881 à Stadareff (Russie), il habitait 14 rue Auguste Blanqui à Puteaux et exerçait la profession
de tailleur.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Solibor le 25 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Karlik Moïse

Né en 1877 à Kaminstch (Russie), il habitait 44 rue Charles Lorilleux à Puteaux et sa fille à Courbevoie.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 2 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine
- Archives municipales de Puteaux

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Kimelblatt Berthe, épouse Harstein

Mort en déportation.

Elle est née le 30 décembre 1906 à Jitimor (Russie). Elle habitait 6 rue Raspail à Puteaux. Elle est arrêté le 13 février 1943 à Puteaux, transférée à Auschwitz, elle décède le 18 février 1943. Elle avait 2 enfants qui furent confiés à leur tutrice madame Hartsein habitant Paris. Son mari fait partie du convoi du 13 février 1943.

Sources :
- Journal Officiel du 17 mai 1994
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Livre mémorial de la déportation

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Kosierow Maurice

Mort  déportation.

Il est né le 7 janvier 1898 à Garvolin (Pologne).
Il habitait 1 rue Roque de Fillol à Puteaux.
Arrêté le 28 février 1943, il est déporté et décède le 11 mars 1943 à Lublin Maideneck (Pologne).

Sources :
- Journal officiel du 19 mars 1995
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Livre mémorial de la déportation

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Kott Dagobert
Mort en déportation.

Il est né le 8 avril 1928 à Landau (Allemagne).

Il habitait 126 rue Jean Jaurès à Puteaux. 
Arrêté le 26 août 1942, il est déporté au camp d’Auschwitz où il décède le 9 septembre 1942.
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Ministère des Anciens Combattants en date du 9 février 1995
- Sites "internet"
- Archives municipales de Puteaux
- Journal Officiel du 19 mars 1995

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Kott Henri

Mort en déportation.

Il est né le 23 août 1899 à Debra (Russie).
Il habitait 126 rue Jean Jaures à Puteaux.
Déporté, il décède le 26 juillet 1944 à Varsovie (Pologne).

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :

- Journal officiel du 22 septembre 1996
- Sites « internet »
- Archives municipales de Puteaux
- Journal officiel du 19 mars 1995

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Laignel Albert


Il est né le 8 avril 1907 à Hamelot (Somme).
Il habitait 83 rue de la République à Puteaux.
Réfractaire et résistant il est arrété le 4 juin 1944.
Il fait partie du transport partant le 9 juillet 1944 et arrivant à Dachau le 28 août 1944. Le trajet chaotique de ce train a fait que l’on a surnommé « le train fantôme ».
Arrivé à Dachau, il reçoit le matricule 93965.
Il est transféré à Mauthausen puis à Gusen ou il décède 3 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Archives municipales de Puteaux

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Lamotte Auguste

Il est né le 10 juillet 1891 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne.
Le 16 avril 1943, il est déporté au camp de Mauthausen où il reçoit le matricule 26545.
Il y décède le 26 avril 1945 lors de la libération du camp.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Langel André

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux. Retour liste des déportés
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Laroche René

Il est né le 13 mai 1892 à Puteaux.
Arrêté, il est classé « NN ».
Il est déporté au camp de Hinzert le 9 octobre 1942.
Il est libéré le 23 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Lebouc Maurice


Il est né le 14 février 1912 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne d’où il est déporté le 12 mai 1944 vers le camp de Buchenwald où il reçoit le matricule 49941.
Il est transféré à Dora puis, à quelques kilométres, la ville camp de Northausen.
Il est libéré.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Le Chevalier Maurice Louis Victor

Mort pour la France.
Mort en déportation.

Il est né le 26 Octobre 1902 à Cherbourg (Manche).
Marié à Ernestine Henriette Parque il habitait Puteaux au 74 boulevard Richard Wallace.
Soldat des forces françaises de l’intérieur il fut arrêté et transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45748.
Il décède le 2 novembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :

- Livre mémorial de la déportation
- Livre "Mille otages pour Auschwitz"
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Lecoeur Jacques

Il est né le 1 Juin 1921 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne. Il est déporté à Auschwitz le 27 avril 1944.
Il reçoit le matricule 185878.
Transféré au camp de Buchenwald, il est libéré par les alliés.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Leguillochet Michel Jacques

Il est né le 27 juin 1921 à Paris (14ème).
Il habitait 11 rue Charles Chenu à Puteaux.
Réfractaire STO, il est arrêté et transféré au camp Royallieu de Compiégne.
Le 25 juin 1943, il est déporté à Buchenwald où il reçoit le matricule 14677.
Il est transféré à Dora où il décède le 28 décembre 1943.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Lepine Adolphe

Mort en déportation.

Il est né à Puteaux le 2 juin 1895.
Il est arrêté sur le territoire du reich et transféré au camp de Buchenwald où il reçoit le matricule 131787.
Il décède le 7 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Leplatre William

Mort en déportation.

Il est né le 18 septembre 1920 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi qui part le 28 octobre 1943 pour le camp de Buchenwald où il reçoit le matricule 30425.
Il est transféré à Dora où il décède le 19 février 1944 .

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Leroy Louis Eugène

Mort en déportation.

Il est né le 28 septembre 1902 à La Ferté sous Jouarre (Seine et Marne).
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiégne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45786.
Il décède le 15 novembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Libman Albert

Né à Puteaux en 1928 il habitait 26 rue Paul Lafargue à Puteaux
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 24 août 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Libman Dora


Né en 1900 à Odessa il était manutentionnaire.
Il habitait 26 rue Paul Lafargue à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 31 juillet 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Liebman Szlama

Né en 1892 à Brad, il exerçait la profession de peintre.
Il habitait 26 rue Paul Lafargue à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 31 juillet 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Lifchitz Salomon

De nationalité russe, né en 1903 à Nikolaieff, il était chef d’orchestre et habitait 65 quai national à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 19 juillet 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Lilienfeld Pascal Hersch

Né en 1901 à Galatz en Roumanie. Il était étudiant et habitait 33 avenue Marcel Sembat à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 25 septembre 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Lormail André


Il est né le 25 septembre 1911 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne avant d’être déporté le 16 avril 1943 à Mauthausen où il reçoit le matricule 26770.
Il est libéré le 23 avril 1945. 

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Makel René

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

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Manello Raphaël

Mort en déportation.

Il est né le 2 février 1914 à Tabarca  (Espagne).
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne). Il reçoit le matricule 45823
Il décède le 30 janvier 1943, il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet »  
- Archives municipales de Puteaux

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Mansion Albert

Il est né à Paris le 14 janvier 1923.
Arrêté, il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944.
Il arrive à Buchenwald le 20 août et reçoit le matricule 77697.
Transféré à Dora puis à Ellrich, il décède le 18 janvier 1945.
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Marotaux René Marcel


Mort en déportation. Il est né le 27 janvier1922 à Puteaux.

Célibataire, il habitait 29 rue Cartault à Puteaux.
Arrêté en janvier 1941 il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45837.
Il décède en janvier 1943, il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Marty Marcel Ferdinand

Mort en déportation.

Il est né à Puteaux le 28 décembre 1895.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45851.
Il décède le 10 octobre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites "Internet"

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Menou  Emile Lucien

Il est né le 22 juillet 1902 à Bossay sur Caise (Indre et Loir).
Il habitait 33 rue Marcel Sembat à Puteaux.
Il est arrêté le 12 juin 1944 à Latilleur aux bois.
Transféré au camp de Royallieu de Compiègne, il part le 28 juillet 1944 pour Neuegamme où il arrive le 31 juillet.
Il reçoit le matricule 39508 avant d’être affecté à différents kommandos.
Classé « Nacht und Nebel », il décède le 13 avril 1945 à Bréme.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux
- Journal Officiel du 28 juillet 1995

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Meyer Albert

Il est né à Puteaux le 11 mars 1921.
Déporté le 11 novembre 1944 à Friburg, il s’évade le 27 novembre de la même année lors d’un bombardement de la prison.
« Le 18, un résistant arrêté le 11 novembre 1944, et que les allemands pensaient échanger contre trois de leurs officiers faits prisonniers par les alliés, est emmené seul en voiture à la prison d’Offenbourg quelques heures avant la libération de Belfort. Le 20, il est transféré à la forteresse de Fribourg-en- Brisgau et le 27 novembre, il est condamné à mort par le tribunal militaire de Karlsruhre pour espionnage et sabotage. Il réussit à s’évader dans la nuit du 27 au 28 à la suite du bombardement de Fribourg. Repris le lendemain, il s’échappe à nouveau et revient en France».

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Minerault Emile Raymond

Mort en déportation.

Il habitait chez sa mère 29 rue Cartault à Puteaux au moment de son arrestation.
Il est né le 27 septembre 1915 à Tours de Louis Théodore Minérault charpentier et de Marie Bouges.
Ses parents viennent s’installer à Puteaux, au 29 rue Cartault et lui, part s’installer aux Etats Unis.
En 1944 il revient en France comme officier américain pour préparer la libération et vient habiter chez sa mère.
Il est arrêté le 10 juillet 1944 en gare de Viroflay.
Transféré en Allemagne, il décède le 4 mars au camp de Nordhausen.

Sources :
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux
- Archives américaines
- Journal Officiel du 18 janvier 1996

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Nedelec Marie


Elle est née le 22 octobre 1915 à Puteaux.
Elle est arrêtée et déportée le 30 mai 1944 vers le camp de Neue Bremm.
Transférée au camp de Ravensbruck elle est libérée en mai 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Orsatti Pierre Hippolyte A
ndré

Photo Orsatti Pierre Hyppolyte AndréMort en déportation.

Il est né le 26 avril 1892 à Feins( Ile et Vilaine).
Marié à Reine Amandine Augustine Dessez ? il habitait
29 rue Cartault à Puteaux. Il était ajusteur.
Il a été arrêté à son domicile le 26 juin 1941.
Transféré au camp de Royallieu à Compiègne, il est intégré
au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45940.
Il décède le 23 août 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre "Mille otages pour Auschwitz"
- Sites « internet »
- Archives municipales de Puteaux

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Pairiere Lucien Camille

Mort en déportation.

Il est né le 14 décembre 1897 à Bourges (Cher).
Marié à Marie Louise Amélie Auclerc, il habitait 2 rue Collier à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne.
Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 45944.
Il décède le 19 août 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Piriou René

Mort en déportation.

Il est né le 14 septembre 1918 à Levallois Perret.
Il habitait 85 rue Jean Jaurès à Puteaux.
Il a été arrêté sur le territoire du reich  et transféré au camp de Sachsenhausen.
Sa date de décès est inconnue.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Plault Amant Henri

Mort pour la France.
Mort en déportation.

Il est né le 6 février 1900 à Neuilly aux bois (Indre).
Fils de cultivateur, il épouse Jeanne Bourdin, couturière, et s’installe au 12 rue Parmentier à Puteaux.
Il exerçait la profession de mécanicien.
Il est arrêté sur le territoire du reich et transféré au camp de Bergen Belsen où il décède le 16 avril 1945, le lendemain de la libération du camp par les troupes britanniques.

Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de la ville de Puteaux.
Il faisait partie d’un groupe de 7 personnes arrêtés sur le territoire du Reich entre janvier et mars 1945. Ces personnes ont été arrêtées en raison d’actes d’opposition au régime nazi (refus de travail,  sabotage de la production, propagande anti- allemande, tentative d’évasion).

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Plaziat Marcel

Il est né le 21 avril 1904 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré à Compiègne d’où il part pour Mauthausen le 20 avril 1943 où il reçoit le matricule 28434.
Il est transféré à Gusen où il meurt à l’hôpital le 25 mai 1945, avant son rapatriement.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Poireault André

Il est né le 21 avril 1914 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne d’ où il est transféré le
17 septembre 1943 au camp de Buchenwald.
Il y reçoit le matricule 21844.
Il rejoint le camp de Dora où il est libéré le 11 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Porot Henri

Il est né le 27 mars 1905 à Puteaux.
Il est arrêté sur le territoire du reich et transféré au camp de Braunschweig.
Il rentre le 19 avril 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation

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Poupleau Emile André Pierre

Photo Poupleau Emile André PierreMort en déportation.

Il est né le 7 juillet 1907 à Bourges (Cher).
Marié à Noëlle Gabrielle Huss, il habitait 36 rue Arago à Puteaux.
Arrêté il est transféré au camp de Royallieu à Compiègne. Il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 46006.
Il décède le 17 août 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».
Son nom est inscrit sur le monument aux martyrs de la résistance de Puteaux.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre "Mille otages pour Auschwitz"
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Rachowicki Morduch

Né en 1894 à Slouin, il habitait 16 rue Lavoisier à Puteaux et exerçait la profession de bourrelier.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 22 juillet 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Ralnowicki Marie

Née en 1901 à Poddelice en Pologne, elle habitait 16 rue Lavoisier à Puteaux.
Arrêté puis internée au camp de Drancy, elle part pour Auschwitz le 22 juillet 1942.

Source :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Rancez Frédéric

Photo Rancez FrédéricMort en déportation.

Il est né le 10 janvier 1903 à Puteaux.
Il était domicilié à Courbevoie.
Membre du parti communiste français, il est arrêté le 11 février 1942.
Transféré au camp de Royallieu à Compiègne, il est intégré au convoi du 6 juillet 1942 qui part pour Auschwitz (Pologne).
Il reçoit le matricule 46031.
Il décède le 20 novembre 1942, il faisait partie du convoi des « 45000 ».

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Livre « Mille otages pour Auschwitz
- Sites « internet » 

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Ravon Marthe Marie Henriette, épouse Laucher

Morte en déportation.

Elle est née le 13 août 1899 à Puteaux.
Arrêtée et détenue au fort de Romainville elle part le 4 août 1944 pour Neue Brem.
Elle est transférée à Ravensbrûck ou elle décède le 1er mars 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet »
- Journal officiel du 8 décembre 1993
 
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Roffi Jean

Il est né le 2 octobre 1923 à Paris.
Il habitait 7 rue Gherard à Puteaux.
Il est arrêté par la police française le 1er avril 1944.
Il est intégré au convoi qui quitte Paris le 15 août 1944 pour Buchenwald où il reçoit le matricule 77880. Transféré au camp de Dora, il part pour Stassen où il décède le
8 avril 1945.

Sources :

- Livre mémorial de la déportation
- Archives municipales de Puteaux

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Schirman Hana épouse Aizenman

Née en 1901 à Cikislec en Roumanie, elle habitait 8 rue Boildieu à Puteaux.
Arrêtée puis internée au camp de Drancy, elle part pour Auschwitz le
25 septembre 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Schlesinger Selma, épouse Struck

Née le 7 juin 1877 à Breslau (Allemagne) ? elle habitait à Puteaux.
Arrêté le 11 février 1943, elle est internée à Drancy et déportée à Auschwitz le
2 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine
- Archives municipales de Puteaux

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Schnuerer Carl

Né en 1894 en Tchécoslovaquie, il était ingénieur et habitait 25 rue Vernet à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 23 septembre 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Sembel Victor

Mort pour la France.

Il est né à Paris (13iéme) le 23 avril 1923.
Il habitait 16 rue Marcelin Berthelot à Puteaux.
Il est arrêté par la milice le 1er avril 1944.
Il était sous-lieutenant.
Il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944. Il arrive à Buchenwald le 20 août et reçoit le matricule 76803.
Transféré à Dora puis à Ellrich, il décède le 15 janvier 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Stainq Clément Appolinaire

Il est né à Puteaux le 27 mai 1905.
Il fait partie du transport qui quitte la gare de Pantin le 15 août 1944.
Il arrive à Buchenwald le 20 août et reçoit le matricule 77087.
Transféré à Dora puis à Ellrich, il décède le 22 mars 1945.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Struck Hermann

Né le 1er février 1881 à Francfort (Allemagne), il habitait à Puteaux. Son fils habitait à Paris.
Il est arrêté le 11 février 1943.
Interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 2 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine
- Archives municipales de Puteaux

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Thedie  Maurice

Il est né à Puteaux le 29 janvier 1896.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne.
Il part le 2 juillet pour Dachau, il meurt pendant le transport.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet »
 
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Thevenot Josette

Elle est née le 31 juillet 1915 à Puteaux.
Elle est arrêtée sur le territoire du reich et internée au camp de Ravensbruck où elle reçoit le matricule 18979.
Elle est libérée.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 

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Thonnelier Jean

Mort en déportation.

Il est né le 17 juin1922 à Virelade (Gironde).
Il habitait 65 rue de Valmy à Puteaux.
Il est arrêté sur le territoire du reich et transféré au camp de Neuegamme.
Il décède le 31 décembre 1944.

Sources :
- Livre mémorial de la déportation
- Sites « internet » 
- Archives municipales de Puteaux

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Retour sommaire Ullman Emmanuel

Né en 1886 à Budapest (Hongrie)? il habitait Puteaux au 23 rue des Daruettes et exerçait la profession de tailleur.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Solibor le 25 mars 1943.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Ullman Hélène

Née en 1898 à Nasne (Hongrie), elle habitait à Puteaux au 23 rue des Daruettes.
Arrêtée puis internée au camp de Drancy? elle part pour Solibor le 25 mars 1943.

Sources :

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Vallée  André Auguste Pierre

Mort en déportation.

Il est né à Puteaux le 2 décembre 1924.
Arrêté, transféré au camp de Royallieu de Compiègne il part le 28 juillet 1944 pour Neuegamme où il arrive le 31 juillet.
Il reçoit le matricule 40462 avant d’être affecté à différents kommandos.
Sa date de décès n’est pas connue.

Sources :
- Sites "internet"
- Journal officiel du 23 juin 2001 

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Veisman Mendel

Né en 1902 à Orhei en Roumanie, il habitait à Puteaux, 8 rue des Hors Bouts et exerçait le métier d’ajusteur.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 28 septembre 1942.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Woestin Jean Hypolite

Il est né le 8 mars 1945 à Puteaux.
Arrêté, il est transféré au camp Royallieu de Compiègne d’où il part le 24 janvier 1943 pour le camp de Sachsenhausen où il reçoit le matricule 59013.
Il décède le 22 mai 1943.

Sources :
- Mémorial de la déportation

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Yeruchalmi Behor Moïse

Né en 1897 à Rhodes, il habitait 31 rue de l’oasis à Puteaux.
Arrêté puis interné au camp de Drancy, il part pour Auschwitz le 31 juillet 1944.

Sources :
- Mémoire des déportés juifs des Hauts-de-Seine

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Arrêtés sur le territoire du Reich

>> Bion René
>> Delys Roger  
>> Guy Simonne Thevenot
>> Josette Ducret Georges
>> Brument Pierre
>> Porot Henri
>> Lepine Adolphe
>> Thonnelier Jean
>> Plault Amant Henri
>> Piriou René
>> Chartier Henri

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Déportés (détails non connus)

>> Kott Dagobert
>> Grandens Gertrude, épouse Kott
>> Kott Henri
>> Kosierow Maurice
>> Kimelblatt Berthe épouse Harstein
>> Minerault Emile Raymond
>> Fohlen Marie Anne épouse Lévine

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Déportés (détails non connus)

(Mais noms inscrits sur le monument de la déportation de Puteaux)

>> Besnard Henri
>> Langel André
>> Makel René

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